L’Entretien du Président Macky Sall avec les journalistes
Le Président Macky Sall confirme qu’il faut d’abord qu’il y ait un dialogue avant qu’on ne donne la nouvelle date de l’élection présidentielle.
Le Président Macky Sall déclare que le dialogue aura lieu ce lundi 26 février 2024. Et après une date sera choisie pour l’élection présidentielle.
Le Président Macky Sall déclare que les forces vives de la Nation participeront au dialogue. Celles-ci, selon lui, sont composées par les candidats déjà retenus, ceux dits spoliés, ceux non retenus, la société civile, les religieux.
Le Président Macky Sall dit qu’il n’a pas d’objection à ce qu’une personnalité politique comme Ousmane Sonko soit libéré. La raison évoquée par le Chef de l’État est qu’on garde l’unité et le ciment du pays. Que ça passe par une loi ou non, il dit qu’il est prêt à faire valoir le pardon du Peuple sénégalais sur certains détenus.
Le Président Macky Sall réaffirme sa volonté de libérer les détenus en vue d’une politique de pardon et de réconciliation. Même un candidat comme Bassirou Diomaye Faye pourrait être concerné.
Dans l’élan de pardon et réconciliation qu’il entend faire valoir, le Président Macky Sall considère que c’est bien possible que Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko bénéficient d’une liberté provisoire. Cela dépendra, d’après lui, de ses avocats et des mécanismes procéduraux qui existent.
Le Président Macky Sall, rappelant sa liberté, son respect des lois, dénonce d’une manière vigoureuse la pression internationale depuis l’annonce du report de l’élection présidentielle.
Macky Sall précise que son souhait le plus ardent est de programmer la date de l’élection présidentielle le plus rapidement possible.
Le Président Macky Sall a communiqué que son gouvernement travaille sur le projet de loi d’amnistie. Il poursuit qu’il y aura un travail sur le plan politique avec la majorité parlementaire.
Concernant les candidats qui participeront à l’élection présidentielle, le Président Macky Sall affirme qu’il ne sait pas ceux qui seront concernés. Il renchérit qu’il ne sait pas si ce seront uniquement les candidats déjà retenus par le Conseil constitutionnel ou pas.
Pour ce qui concerne sa vie d’après Président, Macky Sall de dire qu’il a déjà lancé sa Fondation, qu’il sera occupé, et peut-être qu’il partira au Maroc pour y vivre. Sourire aux lèvres, martèle-t-il, il aime le Maroc.
Le Président Macky Sall confirme qu’il faut d’abord qu’il y ait un dialogue avant qu’on ne donne la nouvelle date de l’élection présidentielle.
Le Président Macky Sall déclare que le dialogue aura lieu ce lundi 26 février 2024. Et après une date sera choisie pour l’élection présidentielle.
Le Président Macky Sall déclare que les forces vives de la Nation participeront au dialogue. Celles-ci, selon lui, sont composées par les candidats déjà retenus, ceux dits spoliés, ceux non retenus, la société civile, les religieux.
Le Président Macky Sall dit qu’il n’a pas d’objection à ce qu’une personnalité politique comme Ousmane Sonko soit libéré. La raison évoquée par le Chef de l’État est qu’on garde l’unité et le ciment du pays. Que ça passe par une loi ou non, il dit qu’il est prêt à faire valoir le pardon du Peuple sénégalais sur certains détenus.
Le Président Macky Sall réaffirme sa volonté de libérer les détenus en vue d’une politique de pardon et de réconciliation. Même un candidat comme Bassirou Diomaye Faye pourrait être concerné.
Dans l’élan de pardon et réconciliation qu’il entend faire valoir, le Président Macky Sall considère que c’est bien possible que Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko bénéficient d’une liberté provisoire. Cela dépendra, d’après lui, de ses avocats et des mécanismes procéduraux qui existent.
Le Président Macky Sall, rappelant sa liberté, son respect des lois, dénonce d’une manière vigoureuse la pression internationale depuis l’annonce du report de l’élection présidentielle.
Macky Sall précise que son souhait le plus ardent est de programmer la date de l’élection présidentielle le plus rapidement possible.
Le Président Macky Sall a communiqué que son gouvernement travaille sur le projet de loi d’amnistie. Il poursuit qu’il y aura un travail sur le plan politique avec la majorité parlementaire.