Le Sénégal se tourne vers les bracelet électronique pour désengorger les prisons
Dans le cadre de la politique pénale d’aménagement des peines, avec l’objectif de désengorgement des lieux de privation de liberté, le ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall a officiellement lancé, ce mardi, le port du bracelet électronique, informe Pressafrik.
Cette réforme, souligne, le ministre est due « à la mise en œuvre de la plupart des modes d’aménagement des peines qui jusque-là, reste timide, alors que des mécanismes comme la libération conditionnelle et la réduction des peines ne permettent pas, à eux-seuls, de désengorger considérablement les prisons, encore moins d’atteindre les objectifs liés à l’humanisation de la sanction pénale ».
Prenant contexte ces faits, le Garde des Sceaux considère que « le recours au bracelet électronique comme alternative à la détention provisoire et mode d’aménagement des peines s’avère particulièrement intéressant pour réduire les mandats de dépôt et limiter les peines privatives de liberté ».
Mais pour en bénéficier, il est impératif en à croire le ministre de la Justice de prendre en compte « certaines considérations, comme l’environnement de la commission de l’infraction, les antécédents du délinquant, mais également son avenir, notamment son potentiel de resocialisation ».
A noter que pour le moment 1 000 bracelets sont disponibles et 1 000 autres sont attendues.
Dans le cadre de la politique pénale d’aménagement des peines, avec l’objectif de désengorgement des lieux de privation de liberté, le ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall a officiellement lancé, ce mardi, le port du bracelet électronique, informe Pressafrik.
Cette réforme, souligne, le ministre est due « à la mise en œuvre de la plupart des modes d’aménagement des peines qui jusque-là, reste timide, alors que des mécanismes comme la libération conditionnelle et la réduction des peines ne permettent pas, à eux-seuls, de désengorger considérablement les prisons, encore moins d’atteindre les objectifs liés à l’humanisation de la sanction pénale ».
Prenant contexte ces faits, le Garde des Sceaux considère que « le recours au bracelet électronique comme alternative à la détention provisoire et mode d’aménagement des peines s’avère particulièrement intéressant pour réduire les mandats de dépôt et limiter les peines privatives de liberté ».
Mais pour en bénéficier, il est impératif en à croire le ministre de la Justice de prendre en compte « certaines considérations, comme l’environnement de la commission de l’infraction, les antécédents du délinquant, mais également son avenir, notamment son potentiel de resocialisation ».
A noter que pour le moment 1 000 bracelets sont disponibles et 1 000 autres sont attendues.